PARTIE 3
J’arrive donc au bout de quelque temps à la fin de la rue Notre-Dame, à l’endroit où elle se jette dans la Route #132. Je n’ai pas encore dîné et il est midi passé. Justement, je me trouve à quelques pas de la Fromagerie des Basques, et c’est à cet endroit que j’ai décidé d’arrêter manger. Une fois là-bas j’achète un sandwich, un sac de croustilles et bien sûr du fromage. Je mange le tout dehors assis à une table à piquenique.
Après avoir manger je traverse la rue afin d’aller au Motel Trois-Pistoles, j’ai remarqué qu’il y avait une cabine téléphonique et j’ai l’intention de lâcher un coup de fil à ma blonde. Malheureusement, elle est absente et lui laisse un message. Ensuite, je repars afin de parcourir la dernière section de cette étape.
La dernière étape de marche consiste à descendre dans la vallée où est situé le village de Rivière-Trois-Pistoles, facilement reconnaissable par sa petite église perchée sur le bord de la rivière. Immédiatement après la descente je dois remonter la côte de l’autre côté de la vallée. Durant mon ascension, je me fais dépasser par les cyclotourismes les moins bien organisés que je n’ai jamais vus. Ce sont de jeunes anglophones avec des vélos de qualités douteuses avec de l’équipement de camping disposé un peu n’importe comment sur leurs vélos. Je les salue au passage et je constate par leur sourire qu’ils semblent être conscients de leur logistique déficiente.
Après avoir manger je traverse la rue afin d’aller au Motel Trois-Pistoles, j’ai remarqué qu’il y avait une cabine téléphonique et j’ai l’intention de lâcher un coup de fil à ma blonde. Malheureusement, elle est absente et lui laisse un message. Ensuite, je repars afin de parcourir la dernière section de cette étape.
La dernière étape de marche consiste à descendre dans la vallée où est situé le village de Rivière-Trois-Pistoles, facilement reconnaissable par sa petite église perchée sur le bord de la rivière. Immédiatement après la descente je dois remonter la côte de l’autre côté de la vallée. Durant mon ascension, je me fais dépasser par les cyclotourismes les moins bien organisés que je n’ai jamais vus. Ce sont de jeunes anglophones avec des vélos de qualités douteuses avec de l’équipement de camping disposé un peu n’importe comment sur leurs vélos. Je les salue au passage et je constate par leur sourire qu’ils semblent être conscients de leur logistique déficiente.
Après avoir monté la côte, je continue encore un moment et fais une pause de 5 minutes, qui j’espère, sera la dernière avant d’atteindre le camping. Peu de temps après avoir repris la route j’aperçois la pancarte des Flots Bleus sur mer. Une fois à l’entrée, une autre pancarte m’annonce qu’il me reste plus que 500 mètres avant d’arriver. Je n’ai plus qu’à descendre la colline afin de me rendre au fleuve, où est situé le camping.
Le propriétaire du camping a sa maison directement sur le site. Il y vit avec une dame qui semble être sa mère. Dès mon arrivée, il m’accueille à bras ouverts et me montre mon emplacement de camping. Puisqu’il y a aucun campeur ce soir il m’a réservé son plus beau terrain. Directement sur le bord de l’eau, et par le fait même à la merci du vent. Que voulez-vous on ne peut pas tout avoir. Je le remercie et je paye le prix pour une nuit de camping. Ensuite, je monte ma tente et une fois celle-ci monté, je me glisse dans mon sac de couchage pour récupérer un peu. Il est 14 h 30, la journée fut plus courte que les deux premières et je n’en suis pas fâché.
Le propriétaire du camping a sa maison directement sur le site. Il y vit avec une dame qui semble être sa mère. Dès mon arrivée, il m’accueille à bras ouverts et me montre mon emplacement de camping. Puisqu’il y a aucun campeur ce soir il m’a réservé son plus beau terrain. Directement sur le bord de l’eau, et par le fait même à la merci du vent. Que voulez-vous on ne peut pas tout avoir. Je le remercie et je paye le prix pour une nuit de camping. Ensuite, je monte ma tente et une fois celle-ci monté, je me glisse dans mon sac de couchage pour récupérer un peu. Il est 14 h 30, la journée fut plus courte que les deux premières et je n’en suis pas fâché.
Une fois mes batteries rechargées, je sors de ma torpeur et va m’installer sur un rocher sur la grève. Je passe le reste de l’après-midi et la soirée à flâner sur le camping. Il n’y a pas de douche alors ce sera pour demain. Le propriétaire m’autorise à utiliser son ordinateur afin que je puisse donner des nouvelles à mes proches. Ensuite, je sors afin de prendre un dernier repas. Au menu ce soir, des arachides, amandes, canneberges et raisins secs. Une fois, ce copieux repas engloutit, je vais me brosser les dents, admire un peu le coucher de soleil et me blottit dans mon sac de couchage. Comme à chaque nuit depuis mon départ, le sommeil s’empare de moi dès le soleil disparu derrière les Laurentides.
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